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Nentre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie de la lumière. Interstellar Olivier_98, 26 Juillet 2017
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Levieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière - Topic N’entre pas docilement dans cette douce nuit, du 23-07-2016 17:25:25 sur les forums
Nentre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie de la lumière. Interstellar Olivier_98, 23 Août 2017 #2
Nentre pas docilement dans cette douce nuit Choix-Realite. Voir plus d'idées sur le thème bonne et douce nuit, image bonne nuit, douce nuit. Tu es la lune qui illumine le ciel la nuit, Tu es cette étoile qui brille de mille feux, Tu es cette fille qui a été bénie au clair de lune. 4 / Avec un beau poème bonne nuit. Personnalisez les étudiants, leroy merlin propose des
not angka can t help falling in love. N’entre pas sans violence dans cette bonne nuit, Le vieil âge devrait brûler et s’emporter à la chute du jour ; Rager, s’enrager contre la mort de la que les hommes sages à leur fin sachent que l’obscur est mérité, Parce que leurs paroles n’ont fourché nul éclair ils N’entrent pas sans violence dans cette bonne hommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairs Leurs actes frêles auraient pu danser en un verre baie Ragent, s’enragent contre la mort de la hommes violents qui prient et chantèrent le soleil en plein vol, Et apprenant, trop tard, qu’ils l’ont affligé dans sa course, N’entrent pas sans violence dans cette bonne hommes graves, près de mourir, qui voient de vue aveuglante Que leurs yeux aveugles pourraient briller comme météores et s’égayer, Ragent, s’enragent contre la mort de la toi, mon père, ici sur la triste élévation Maudis, bénis-moi à présent avec tes larmes violentes, je t’en prie. N’entre pas sans violence dans cette bonne nuit. Rage, enrage contre la mort de la lumière.
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Do Not Go Gentle Into That Good Night de Dylan Thomas, traduction, analyse et postérité Dylan Thomas 1914-1953, grand poète gallois et buveur formidable au point d'en mourir, écrivit en 1947 son poème Do Not Go Gentle Into That Good Night titre donné d'après le premier ver, pendant un voyage en Italie. En français, le film Interstellar a popularisé la traduction "N’entre pas docilement dans cette douce nuit". Contexte d'écriture Le poème une villanelle, voir plus bas fut publié une première fois en 1951 dans la revue littéraire internationale Botteghe Oscure, basée à Rome, qui éditait des articles en plusieurs langues dont la moitié en anglais. Il est ensuite inclus dans le recueil In Country Sleep, And Other Poems, paru en 1952. Couverture du recueil de poèmes In country sleep de Dylan Thomas. Il est souvent suggéré ici et là que Thomas écrivit "Do not go gentle into that good night" parce que son père David John Thomas était agonisant, mais d'autres font remarquer que celui-ci ne mourut pas avant Noël 1952. Le fait est que David John Thomas a longtemps été malade d'un cancer et qu'il commençait à perdre la vue quand Dylan Thomas écrivit sa villanelle, ce qui explique en partie l'importance de la lumière dans le poème. Dans une lettre à Marguerite Caetani, fondatrice de Botteghe Oscure, Dylan Thomas déclare "La seule personne à qui je ne peux montrer le poème ci-inclus est, bien entendu, mon père, qui ne sait pas qu'il est mourant."“The only person I can’t show the enclosed poem to is, of course, my father, who doesn’t know he’s dying.” Photographie de Marguerite Caetani, fondatrice de la revue Botteghe Oscure. La traduction "N’entre pas docilement dans cette douce nuit" Le poème n'est pas entièrement traduit pour le film Interstellar, dont Frédéric Cerdal, qui double Michael Caine, lit deux strophes au cours d'une scène spatiale. On les trouvera ici transcrites N’entre pas docilement dans cette douce nuit, Le vieil âge doit gronder, tempêter, au déclin du jour, Hurler, hurler à l’agonie de la lumière, Si le sage sentant la fin sait que les ténèbres sont justes, Car ses mots n’ont point forgé de foudre, Il n’entre pas docilement dans cette douce nuit, Hurle, hurle à l’agonie la lumière. Voici maintenant la version originale du poème Do not go gentle into that good night, Old age should burn and rave at close of day; Rage, rage against the dying of the light. Though wise men at their end know dark is right, Because their words had forked no lightning they Do not go gentle into that good night. Good men, the last wave by, crying how bright Their frail deeds might have danced in a green bay, Rage, rage against the dying of the light. Wild men who caught and sang the sun in flight, And learn, too late, they grieve it on its way, Do not go gentle into that good night. Grave men, near death, who see with blinding sight Blind eyes could blaze like meteors and be gay, Rage, rage against the dying of the light. And you, my father, there on the sad height, Curse, bless, me now with your fierce tears, I pray. Do not go gentle into that good night. Rage, rage against the dying of the light. Photographie de David John Thomas, père du poète Dylan Thomas. Voici maintenant une traduction personnelle de Thomas Spok, donc, datée de 2020 N’entre pas courtois dans cette bonne nuit, Le grand âge devrait s’embraser, fulminer au crépuscule ; Rage, enrage contre l’agonie de la lumière. Quoique les sages à leur terme sachent que l’obscur l’emporte, Parce que leurs mots n’ont déchaîné nulle foudre ils N’entrent pas courtois dans cette bonne nuit, Les bons, après la déferlante, s’écriant combien splendides Leurs actes frêles eussent dansé dans une baie verdoyante, Ragent, enragent contre l’agonie de la lumière. Les insensés, qui saisissaient le soleil en vol et le chantaient, Et apprennent, trop tard, qu’ils l’accablaient dans sa course, N’entrent pas courtois dans cette bonne nuit. Les hiératiques, près de mourir, qui voient aveuglément Qu’aveugles des yeux pourraient fuser tels des météores et joyeux, Ragent, enragent contre l’agonie de la lumière. Et toi, mon père, du haut de la triste altitude, Maudis, bénis-moi maintenant de tes larmes cruelles, je t’en prie. N’entre pas courtois dans cette bonne nuit. Rage, enrage contre l’agonie de la lumière. Par ailleurs, le lecteur pourra lire avec intérêt une traduction de Lionel-Édouard Martin suivre le lien pour lire sa version, lui-même poète et romancier il a choisi de transposer le pentamètre iambique anglais en alexandrin avec césure à l'hémistiche, respectant ainsi la régularité du classicisme métrique de l'original on en donnera ici qu'un extrait N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit, Les vieux devraient tonner, gronder quand le jour tombe ; Rage, mais rage encor lorsque meurt la lumière. Si le sage à la fin sait que l’ombre est la norme, Comme aucun de ses mots n’a fourché en foudre il N’entre pas apaisé dans cette bonne nuit. Il est à noter qu'on peut lire également la version traduite par Alain Suied dans la collection poche Poésie/Gallimard nrf, dans un recueil intitulé Vision et Prière et autres poèmes la traduction du poème remonte à 1979. Le titre donne "N'entre pas sans violence dans cette bonne nuit" et la traduction N'entre pas sans violence dans cette bonne nuit,Le vieil âge devrait brûler et s'emporter à la chute du jour ;Rager, s'enrager contre la mort de la lumière. Bien que les hommes sages à leur fin sachent que l'obscur est mérité,Parce que leurs paroles n'ont fourché nul éclair ilsN'entrent pas sans violence dans cette bonne nuit. Les hommes bons, passée la dernière vague, criant combien clairsLeurs actes frêles auraient pu danser en une verte baieRagent, enragent contre la mort de la lumière. Les hommes violents qui prirent et chantèrent le soleil en plein vol,Et apprennent, trop tard, qu'ils l'ont affligé dans sa course,N'entrent pas sans violence dans cette bonne nuit. Les hommes graves, près de mourir, qui voient de vue aveuglanteQue leurs aveugles pourraient briller comme météores et s'égayer,Ragent, enragent contre la mort de la lumière. Et toi, mon père, ici sur la triste élévationMaudis, bénis-moi à présent avec tes larmes violentes, je t'en pas sans violence dans cette bonne enrage contre la mort de la lumière. Écouter Dylan Thomas lire "Do not go gentle into that good night"Après la Seconde Guerre mondiale, Dylan Thomas et sa famille ont des difficultés financières Thomas accepte alors d'écrire et enregistrer une séries d'émissions pour la BBC qui rencontrent le succès. De 1945 à 1948, plus d'une centaines d'enregistrements font entendre sa poésie, mais aussi des débats littéraires ou des critiques diverses. Lorsqu'il écrit "Do not go gentle into that good night", Thomas est une célébrité de la radio, et il est logique qu'il ait choisi d'enregistrer une lecture de son poème, que l'on peut écouter ci-dessous Éléments d'analyseLe poème de Dylan Thomas évoque la volonté d'en découdre jusque dans l'agonie, quand bien même il est impossible d'en triompher on songera sur ce sujet au poème "La tour noire" de Yeats. Les strophes montrent comment différentes personnes se comportent face à la mort, de l'homme "sage" de la deuxième strophe au propre près de Thomas dans la sixième. Il s'agit pour chacun de faire un bilan de la vie écoulée, de ce qui a été fait ou non, et dans ce dernier cas d'exprimer des regrets "words had forked no lightning" dans le cas du sage. Ce parcours de témoignage en témoignage est renforcé par le procédé de l'enjambement, par exemple dans la cinquième strophe Grave men, near death who see with blinding sight [enjambement] Blind eyes could blaze like meteors and be gay. On remarquera le passage de "blinding" à "blind", l'affaiblissement ou la perte de la vue due au grand âge permettant paradoxalement, en apparence, une meilleure vision de la vie menée. L'enjambement permet aussi de souligner le mouvement de la lecture et de la vie qui est donc aussi celui du temps qui mène, inéluctable, à la mort défiée. Celle-ci est assimilée évidemment à la nuit, image récurrente qui se décline par le biais de l'obscurité, du soleil faiblissant "The sun in flight" or elle est présentée aussi d'une façon positive, "good night" qui est aussi image d'un paradis ou du moins d'un repos. On pourra aisément faire le lien avec la maladie du père de Dylan Thomas "my father" pour qui la mort pouvait représenter la fin des souffrances dont il connaissait symboliquement les sommets, au plus près donc de la mort "sad height". Or pour le poète, ainsi que le rappelle le refrain, il est hors de question d'accepter la mort quand bien même elle apparaîtrait comme un soulagement. Un exemplaire de la revue Botteghe Oscure, avec Dylan Thomas entre autres noms prestigieux au sommaire... Dans l'ensemble, le poème développe une structure argumentative, de l'impératif de la première strophe, appliqué ensuite à différents types de personne hommes sages, bons, sauvages, sérieux... jusqu'au quatrain conclusif il s'agit toujours de refuser de se soumettre à la mort et d'inciter finalement la figure paternelle à enrager à son tour, selon les modèles qui lui sont fournis. On insistera brièvement sur l'importance de l'adjectif "gentle" dans le texte original, parfois considéré comme une faute de grammaire intentionnelle alors que l'anglais attendrait l'adverbe "gently" on peut suggérer que l'adjectif renvoie bien au sujet à qui est adressé l'injonction "do not go gentle" impliquant un "you", c'est-à-dire une adresse au lecteur, au père, tandis que l'adverbe "gently" s'appliquerait à l'action "go". L'adjectif fonctionnerait donc ici selon un principe d'ellipse grammaticale qui fait ressortir le ver. Un genre poétique, la villanelle Forme classique stricte et répandue dans la poésie anglaise, la villanelle respecte plusieurs critères - elle est constituée de dix-neuf vers répartis en cinq tercets et un quatrain final ; - elle est écrite en pentamètre iambique, ver fréquent de la poésie anglaise qui consiste à faire suivre une syllabe non accentuée d'une syllabe accentuée ; - seuls deux types de rimes sont utilisés tout le long du poème la rime en -ight "night", "light", "brigh"... et la rime en -ey "they", "day", "bay"... ; - le premier ver entier est répété aux sixième, douzième et dix-huitième vers ; - le troisième ver est répété aux neuvième, quinzième et dix-neuvième vers. Exemple de modèle, appliqué par Dylan Thomas A1 b A2 / a b A1 / a b A2 / a b A1 / a b A2 / a b A1 A2. Matthew McConaughey ému dans Interstellar. L'évolution de son personnage renvoie au poème de Dylan Thomas qui l'accompagne, en un sens, tout au long du film. On constate ainsi que dans le poème de Dylan Thomas, les vers "Do not go gentle into that good night" et "Rage, rage against the dying of the light" servent de refrain. La villanelle est traditionnellement associée aux thèmes pastoraux, à la nature, aux choses simples. De ce point de vue, le thème de la mort dans le poème de Thomas est compris comme partie du cycle naturel de la vie. Postérité musicale La popularité du poème de Dylan Thomas a conduit des musiciens à s'en inspirer pour des hommages musicaux très variés. Igor Stravinsky avait ainsi envisagé une collaboration avec Dylan Thomas pour une oeuvre de théâtre musical. Dès 1954, Stravinsky compose en mémoire du poète le chant funèbre In Memoriam Dylan Thomas. Il s'agit d'un chant pour ténor, quatre trombones et quatuor à cordes d'une durée d'environ huit minutes que l'on peut entendre sur youtube. Le deuxième mouvement est consacré à "Do not go gentle into that good night", chanté par le ténor. En 1989, c'est le musicien gallois John Cale ancien membre du groupe Velvet Underground qui utilise des poèmes de Thomas pour son album Words for the Dying, composé en réaction à la guerre des Malouines de 1982 qui oppose le Royaume-Uni à l'Argentine. Sur la face B de l'album se trouve notamment un enregistrement de "Do not go gentle into that good night" John Cale, pour la pochette de l'album Words for the Dying 1989 En 2015, le rappeur G-Eazy lit le début du poème en "Intro" de son album When It's Dark Out, gros succès de la période qui contribue encore à faire découvrir le poème plus d'un million de disques vendus ! Le rappeur G-Eazy pour la pochette de When It's Dark Out 2015. Plus récemment, le "parrain du Punk" Iggy Pop a proposé sa propre version intégralement lue du poème pour son album Free 2019, dont "Do not go gentle into that good night" occupe l'avant-dernière place. Une agence de pub avait contacté le rocker pour qu'il lise le poème en voix d'une publicité le chanteur vieillissant s'est d'abord montré peu enthousiaste, associant le poème à la scolarité "Je ne suis pas au lycée !" déclare-t-il, mais finalement n'a pas résisté au plaisir de l'intégrer à un disque... on peut entendre sa lecture ici, avec une trompette en fond entre autres. Iggy Pop, image promotionnelle pour son album Free 2019 où il chante la villanelle de Dylan Thomas. Postérité au cinéma Le cinéma également a su se souvenir du poème de Thomas... sachant d'ailleurs tirer parti de son statut de classique scolaire, par exemple pour le film Back To school 1986 d'Alan Metter, où l'on voit l'acteur comique Rodney Dangerfield, dans le rôle de Thornton Mellon, découvrir les bancs de la fac pour encourager son fils... et lui-même s'encourage en plein examen en récitant "Do not go gentle into that good night". Rodney Dangerfield récite le poème de Dylan Thomas dans Back to school, 1986. En 1996, c'est le blockbuster Independence Day de Roland Emmerich qui puise dans le poème de Thomas pour le discours patriotique du président des États-Unis joué par Bill Pullman. Celui-ci motive ses troupes avant un assaut décisif contre les envahisseurs aliens, s'exclamant très solennellement "We will not go quietly into the night" ! Curieuse utilisation, peut-être, d'un poème gallois qui n'avait rien à voir avec l'indépendance américaine... Bill Pullman incite à bouter les aliens hors du système solaire en récitant des vers de Dylan Thomas. Interstellar 2014 de Christopher Nolan a plus récemment contribué à la popularité du poème au niveau international, les vers de Thomas accompagnant en leitmotiv les différentes tentatives des personnages d'échapper à l'extinction de l'humanité l'espérance et les lumières des étoiles contrastent avec la noirceur spatiale. On peut écouter ici une lecture de l'acteur Michael Caine le professeur John Brand dans le film, ou encore une version interprétée par d'autres acteurs du film, dont Jessica Chastain ou Matthew McConaughey. La science-fiction et la poésie font bon ménage au cinéma voir Yeats et Equilibirum... Michael Caine cite plusieurs "Do not go gentle..." dans Interstellar 2014. Postérité en peintureOn ne s'étonnera pas sans doute que ce soit encore un gallois qui ait voulu rendre hommage au poème de Dylan Thomas, en l'occurrence l'artiste Ceri Richards 1903-1971. Il peignit trois peintures inspirées du poème, chacune datée respectivement de 1954, 1956 et 1965. Ceri Richards, Do not go gentle into that good night, 1956. Peinture à huile sur toile. Au sujet de la villanelle elle-même, Ceri Richards déclara "'Rage, rage against the dying of the light' est peut-être dans la nature de la contestation - mais futile. Ce ver qui revient à la fin de chaque strophe me semble affirmer la futilité de la contestation et de la proclamation. Ce sont nos oeuvres que nous laissons derrière nous." Référence dans un jeu vidéo Dans le jeu League of Legends de Riot Games, les joueurs peuvent entendre de temps à autre le personnage Aatrox citer "Rage against the dying of the light", Aatrox étant lui-même un ancien "Fils du soleil" devenu un "Darkin" fou de colère... Aatrox, personnage ténébreux du jeu League of Legends. Le poème a eu d'autres influences et continue d'inspirer au fil du temps, sous des formes diverses le premier roman de science-fiction de George R. R. Martin se nomme par exemple Dying of the light !, ce qui d'ailleurs renforce son statut de classique... ainsi que celui de Dylan Thomas dont le nom a notamment inspiré Robert Zimmerman pour devenir Bob Dylan !. Ci-dessous le poème de Thomas et une traduction au format JPG
Le vieil âge doit gronder, tempêter au déclin du jour. Hurler, hurler contre la mort de la lumière."voit le vaisseau s'éloigner de la terre* *bruit d'orgue puissant*frissons* *erection* Petit point blanc devant Saturne ,*notes de piano* *Silence total dans la salle* Oh putain ouai cette scène aussi Peut s'indiquer à lui même que seul la planète d'Edmunds est fiable* Peut s'indiquer à lui même tout de suite l'équation de la gravité* Décide de la transmettre à sa fille par une montre à la con grâce au pouvoir de l'amour et de revenir quand elle sera sur le point de crever* Message édité le 25 avril 2015 à 174508 par CadavreVolant "un parent est le fantôme de l'avenir de ses enfants" parle souvent de docking mais cette scène est tout aussi bandante putain, la citation plus le vaisseau qui s'éloigne Je ne comprend pas ce qu'il se passe et moi j aime le chocolat * TADADAAAAAA * Ce film Mais la VF Message édité le 25 avril 2015 à 182438 par WHEEE La VO Vf omg C'est comme la VF de true detective sur c+ ça perd tout son charme à la série Nan mais regarder un film de SF en VO sérieux vous êtes sérieux ?! Bon ok pour les bilingues mais lire les sous-titres avec un film pareil non mais...S'amuser à lire et rater les scènes en IMAX dans l'espace + le jeu d'acteur c'est pas l'essentiel dans un film de SF, je vois pas l'intérêt Je pensais pouvoir te regarder mourir mais finalement non je ne peux pas...Mais t'en fais pas je suis la, tu peux me parler, est ce que tu vois tes enfants ?Le mec qui parle normal en laissant l'autre crever LotteCarmille 25 avril 2015 à 221336 Alerte Je pensais pouvoir te regarder mourir mais finalement non je ne peux pas...Mais t'en fais pas je suis la, tu peux me parler, est ce que tu vois tes enfants ?Le mec qui parle normal en laissant l'autre crever -> je m'étais fais la même réflexion Ça va ?! Vous voyez vos enfants ?! Alors que c'est lui qui le fait crever " Je suis la pour vous " Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
Harry Potter 2005 ~¤~ Londres ~¤~ Chemin de Traverse Re Dans un coin sombreInvité, le Dim 7 Jan - 134 Hey c’est Jacquie. Oui encore moi. Je ne vous lâcherai pas d’une semelle. C’est ma vie qui est en jeu, j’ai donc le droit d’intervenir, de donner mon avis et d’avoir le dernier mot. Je ne suis pas là pour jouer avec toi, mais pour prendre de vraies décisions. Regarde le grandir, comme toi et moi. D’un petit enfant tout gentil, je suis devenu un adolescent à deux facettes. Le voici avec ses amis, ils ont des histoires, ils ont tout leur temps, pour toi. C’est vrai et faux en même temps. J’ai quelques personnes que je fréquente avec qui je parle souvent de mes problèmes, de ma vie. Mais les autres ne sont que des connaissances à mes yeux, ça ne va pas plus loin. Je ne vais pas discuter de mes idées suicidaires avec quelqu’un que je viens à peine de rencontrer. Enfin bref, je suis Jacquie, je ne suis plus seul dans ce coin sombre mais je suis toujours autant là cette petite fille perdue. Pourquoi vient-elle te déranger pendant que tu t’enfonces encore plus sur la route de la liberté ? Ne la laisse pas te distraire. Si tu veux aller mieux, il faut aller au bout de tes idées. La mort n’est pas une fin en soi. Elle est juste un moyen de repartir à zéro dans une autre vie, le tout sans avoir de soucis. Aller de l’avant, ne pas regarder derrière soi. En plus, elle veut partir à la recherche de la lumière avec toi. C’est une très mauvaise idée. C’est juste un prétexte pour que l’on puisse se sentir mieux. Mais cette lumière n’existe pas en fait. On s’accroche désespérément à quelque chose pour ne pas avouer que tout est fichu. Que la vie à quitter notre âme et seul notre coeur maintien notre corps meurtri en vie. Alors tu vas me faire le plaisir de mettre fin à cette discussion, et de t’enfoncer dans un nouveau coin sombre pour que personne ne puisse te déranger. Tu as une tâche à accomplir, fais le au plus vite. Pas de remords, pas de passé, juste un futur nouveau qui s’offre à toi. Hop hop hop. Attends deux minutes. Cette rencontre inattendue peut peut-être changer les choses et toi tu veux rester une nouvelle fois seul pour mourrir en paix ? Sauf qu’après la mort, il n’y a rien. Tu n’existeras plus, ton âme sera déconnecté. Toutes les personnes que tu aimes ne seront plus là. Elles vont pleurer ta mort et cela va sûrement leur faire plus de mal à eux qu’à toi. Voir les personnes qui te sont chers souffrir, c’est ça que tu veux ? Les obliger à accepter ton absence ? Je ne crois pas que ce soit la bonne solution. Cette jeune fille que tu as dérangés, et qui souhaite en plus rechercher la lumière, tu dois la suivre. Elle aussi à peut-être des problèmes. A deux vous êtes plus fort. Et puis ce n’est pas dans ton genre de refuser d’accompagner une jeune demoiselle. Tu verras, quand tu trouveras cette fameuse lumière, tes problèmes prendront une plus petite place dans ton esprit. Fais confiance à ton coeur et pas à ce démon débile qui veut juste que tu meurs. Il ne t’aide pas, il te corrompt. Ce n’est pas ton ami. Ok, me revoilà face à la réalité. Je suis là debout à côté de cette mystérieuse fille. Elle veut que je l’accompagne pour que l’on puisse réussir la quête de la recherche de cette fameuse lumière. Je ne sais pas si c’est une bonne idée. Pour commencer, je ne sais pas qui est cette personne, je ne sais rien d’elle. Comment est-elle arrivée là ? Même moi j’ignore comment j’ai pu atterrir ici. C’est peut-être un signe du destin. Ou alors une aide divine afin que je conserve ma vie. Je ne suis pas croyant, pourtant cette idée me trotte dans la tête. Sommes nous sur Terre pour accomplir quelque chose qui est déterminé dès notre naissance ? Ai-je une tâche à réaliser avant de mourir ? Mon heure n’est peut-être pas venu après tout. De plus, cette inconnue doit me prendre pour un dingue. Je mets énormément de temps pour lui répondre. Je n’ai même plus conscience du temps qui passe ni de l’environnement qui m’entoure. Je suis comme dans une bulle en suspension dans le vide. Il est temps de prendre une décision, et surtout la bonne. Jacquie ne sait pas trop quoi faire. Il tente à nouveau de cerner son interlocutrice mais rien à faire, tout est trop flou. Seule sa voix lui permet de comprendre qu’il s’agit d’une fille. Et puis elle parle d’un Xavier, des étoiles. L’adolescent ne comprend pas grand chose. Entend-elle aussi des voix dans sa tête ? Cette rencontre est des plus étrange. Mais la curiosité a toujours été une qualité ou un défaut selon le point de vue pour Jacquie. D’un mouvement de tête il essaya intérieurement de virer l’ange et le démon qui partagent son esprit afin d’essayer d’avoir les idées claires. Il inspira un grand coup et d’une voix pas vraiment rassuré, répondit Heu … Oui je veux bien chercher la lumière avec toi mais avant d’y aller, j’aimerai savoir où nous sommes. Comment t’appelles tu ? Pourquoi sommes nous ici ? » Gaëlle PanyellaSerdaigle Re Dans un coin sombreGaëlle Panyella, le Dim 14 Jan - 2158 Viens ! Toi, Mary ! Au pays des Schtroumpfs ! Des petits êtres bleus ! comme toi ! Oh. Mais c'est vrai ça. Je suis toute bleue. Mes mains, mon visage. Mes pieds et mes ongles. Mes cheveux aussi. Tout est devenu bleu. Chouette ! Je serais la plus bleue des bleue de l'univers ! Tout est merveilleux ont-ils promis. Je dis oui, une, deux, trois quatre cinq six sept huit neuf dix fois ! Enfin un endroit sympathique et simple à vivre. Il était temps ! Puis on me dit dans l'oreille qu'il existe un chemin. Peut-être qu'ils connaissent aussi la direction de la lumière. Peut-être qu'il faut les rencontrer pour la trouver ! Et en plus ce n'est pas loin. Que demande le peuple ? Rien de plus, rien de moins, nous sommes paré pour la grande aventure, même Bill est prêt, je ne vois pas comment tout ça aurait pu mal se finir. Vraiment pas. Il y a un grand ! un grand sage Schtroumpfement génialissime et le farceur, c'est Schtroumpf aussi ça le grognon sera un peu moins drôle, mais lui il y a moyen de faire quelque chose pour lui rendre le sourire, j'en suis certaine. Sûre certaine américaine Puis la belle Schtroumpfette fera tourner des coeurs ! Eh toi, la petite tête toute triste ! Qui sait ! Ah, qui sait hein ? Va ptet te rendre le sourire la jolie gamine !Ou alors le Schtroumpf bricoleur pourra nous réparer le coeur avec sa clef à molette, ça peut aider les clef à molettes, elles sont généralissime quand certaines choses vont malLe reste j'en parle pas, y'a assez de démons comme ça alors vaut mieux ne pas trop sombrer dans des pensées bourrée de négatif, j'ai autre chose à faire que pleurer. Comme, pleurer en fait. Puis c'est ce retour en enfance qu'il m'inspire, depuis les étoiles des Winx, comme si le fait de se sentir plus petit empêchait de s’apitoyer. À moins que ce soit son visage triste qui m'inspire une étincelle de peine. Parfois le malheur d'autrui empêche un peu de se sentir mal, comme si on en avait pas le droit alors que si mais le cerveau décide que non, et quand cet idiot décide quelque chose on sait très bien que c'est compliqué de lui sortir " nan mais en fait tu dis des bêtises " donc voilà il faut se taire et rester un être bleu bien comme il faut tu vois que t'es pas si bête ! Merci Stella c'est encourageant ça regarde l'être se dessiner devant moi de plus en plus précis, mes yeux s'accommodent au sombre des lieux et ça c'est plutôt chouette, comme une chouquette saperlipopette ! Et il pose des questions donc il faut répondre c'est la moindre de choses, puis je sais à quel point les pourquoi peuvent être tuant lorsqu'ils restent des réponses plus vagues que floues. Nous sommes dans l'espace évidemment parce que la Terre y est donc nous aussi c'est logique Je m'appelle Mary bon ça c'est pas compliqué mais il vaut mieux préciser mais derrière moi il y a Xavier, Stella, Sourire et Sun, je ne sais pas si tu sauras les voir mais au pire c'est pas grave, quant à la dernière question un jour on ne t'a pas demandé ton avis pour savoir si tu voulais exister ou non, et depuis ce jour tu existes, c'est pour ça qu'on est là et maintenant passons aux choses sérieuses !J'attrape sa main, allume le morceau de bois qui repose entre mes doigts libres puis commence à courir dans une direction qui me semble moins moche que les autres en déclarant que les Schtroumpfs m'ont dit qu'il fallait suivre le chemin pour aller chez eux, et la lumière elle est là-bas ! et du coup vu qu'ils l'ont dit, ça doit être la vérité, je vois pas pourquoi ils mentiraient de toute façon et maintenant que nous en sommes, et bien il faut retourner à la maison ce qui est logique ! Shae L. KeatsGryffondor Re Dans un coin sombreShae L. Keats, le Lun 19 Fév - 202 RP uniqueIl y a la nuit noire, les heures perdues entre Minuit et cinq heures, celles où tout peut arriver. On ne sait jamais vraiment ni où ni comment elles passent mais c'est celles que je chérie le plus, le trou de la nuit dans lequel on a pas besoin de se cacherles trois-quart d'heures de vie de pleursles seuls où l'âme se fait encore violence. J'suis à ma propre adrénaline dans les rues de la villeune fois passée l'heure du sais pas ce que je fais, ni pourquoi j'en suis mais j'erre dans Londres, entres les façades de pierres où le lierre meurt sous terre. J'ai une botte trop grande pour moi, trouvée dans la boite à trésors des trois balais, une autre à ma taille, plus banale qu'autre chose, y a le cliquetis de métal au poignet, une chaine trouvé dans une paire de gant à Aza ou à Pius, un bracelet de l'un ou l'autre dont aucun ne remarquera sûrement la disparition, j'ai besoin de morceaux de gens pour m'accompagner. Ça me rassure, ça fait du poids et le contour. J'ai les dessins de gosses et les phrases sur ma peau, celles faites pas un moldu sous emprise, pour qu'il imprime les souvenirs sur ma peau, ça fait un peu mal, mais contrairement à l'autre, ils sont indélébiles. Alors je claque les semelles sur les pavés, il pleut un peu, on se croirait au début d'un mauvais film d'épouvante. Je sais où je vais. Il y a quelques rues un orphelinat sorcier. Quelques semaines que l'idée germe déjà, j'ai besoin d'un motif de survie, et la pensée pour laquelle je me flagellerai plus tard qu'Enzo ne suffira pas, parce que si je disparais, le petit aura au moins une mère. J'ai besoin de quelqu'un qui ne dépend que de moi. D'offrir ce que mes bras ont à donnercréer au lieu de détruireet voir grandir. Quelqu'un qui n'aura pas mes gênes pour lui pourrir le monde. Alors j'ai réfléchi. Prendre un enfant qui n'a plus rien et lui offrir une vie. S'en offrir une aussi, une raison d'être, de faire et d'avancer, j'ai désespérément besoin de moi même. De lui ou d'elle. Alors la solution la plus simple, pour éviter l'enquête à mon compte, pour ne pas prendre l'enfant de quelqu'un. Pour arrêter de détruire en cherchant à créer, j'ai choisi un orphelinat simple, oublié. J'aurais pu choisir un moldu, mais ça aurait été tenir l'enfant écarté du monde qui était le mien, et je ne voulais plus avoir à me cacher, alors cracmol, je n'en avais que fairel'enfant ne manquerait à personne. La cape masque la forme de ce corps d'emprunt, je me suis j'ai musclé ma carrure, pris les traits d'un autre que nul ne reconnaîtrait. Pour plus de sécurité, les prétexte viendrait plus tard, petit neveu orphelin, cousin en vacances il me faudrait trouver, les procédures d'adoption n'ont pas l'air si conséquences viendraient plus observé le lieu ces derniers jours, je savais que l'homme sortait toujours à une certaine heure, pour fumer. Alors j'ai attendu, et cinq minutes plus tard, il était à mes côtés. Me faire passer pour et prétexter demander du feu pour m'approcher, et alors lancé le premier impero. Et faire mouche. Il ne lui fallut pas longtemps pour modifier le sort qui entourait l'enceinte et me laisser entrer. L'impression de déjà vu qui me renvoyait à une certaine porte a grincé comme une scie à métaux, je me suis quelques instants mais il n'y a eu aucun mouvement. Alors j'ai refermé derrière moi et je me suis à l'intérieur. Je suis arrivée dans les cuisines. Y avait une vieille odeur de friture, nous étions vendredi, repas de fêtes sûrement, le repas détente, celui où on lâche doucement la panse. J'ai senti les odeurs, ouvert les portes pour en trouver la sortie, à commencer par celle du cellier. Ce sont les odeurs de cannelles et de gingembres qui m'ont les premières. J'ai continué, sans poser mes mains nulle part, à fureter dans les recoins, à tout sentir, tout toucher, pour comprendre ce qui avait bien pu faire l'univers de l'enfant. Tout ce qu'il connaissait, ce qu'il savait. La dernière porte s'ouvrait sur un couloir. Une odeur d'humidité, légère, comme celles qu'on essaie de chasser, les derniers relans de nuit, les dernières gouttes d'huiles essentielles pour effacer la misère. Il y avait dû y en avoir des larmes dans ce couloir qui menait aux chambres et aux bureaux. Ils n'en chasseraient jamais l'humidité. Le carrelage ne faisait pas un bruit alors que je m'y avançais, toujours suivi par l'homme. Je passais devant les bureaux des surveillants, une fin filet de lumière qui filtrait sous la porte, j'informulais un Collaporta pour m'assurer qu'elle resterait en l'état. Et je continuais ma route. J'arrivais à l'étage des chambres. Je devais être dans le coin des petits, et ce serait plus simple ainsi, ne pas croiser le regard des plus grands et devoir leur expliquer qu'on ne peut pas les emmener. Comment choisir un enfant. Croiser les regards des petits, et devoir décider auquel donner une vie, auquel la refuser. Alors j'avais marché le long du couloir, jetant un œil sur les portes jusqu'à en trouver une sur laquelle il n'y avait qu'un nom, voilà qui m'empêcherait d'avoir à choisir entre deux enfants dormant côte à côtemon cœur fendue aurait penser aux deux. Oliver Smith ?11 mois. Je songeais un instant qu'il me faudrait le rebaptiser. Le nom me trottait déjà en tête, mais il s'apposerait plus tard. Je passais mon chemin, allait jusqu'au bureau de l'étage, pour que nul ne se doute qu'il y avait un soucis, pour que l'alarme se désactive. Je le trouvais comme prévu occupé, du moins c'est ce que m'appris le mince filet de lumière qui filtrait sous la porte. Alors m'appuyant contre elle, j'attrapais ma baguette, et tentant de conserver mon calme, je soufflais quelques secondes avant de faire pivoter brusquement la porte pour me trouver nez-à-nez avec une pièce vide. Je comprenais alors que l'homme a mes côtés était le responsable de l'étage, ce qui me simplifiait la tâcheJe n'aimais pas l'imperopriver les gens de leur contrôle. Mais le cas l' me suivant docilement, il m'accompagna jusqu'au chevet de l'enfant. Il ne dormait pas. Il nous regardait avec de grands yeux bien éveillés, et je compris alors que, je n'aurais jamais pu faire un choix si tous les enfants m'avaient ainsi. Alors j'ai rendu la main et je l'ai laissé attraper mon doigt. Le sentir, le mordiller, je l'ai laissé appréhender. Il lui faudrait vouloir de moi autant que je voudrais de lui. Et contre toute attentejusqu'à en faire trembler mes jambesil a souri. Je l'ai pris dans mes bras. Doucement, la peur absolu de le casser tant il paraissait fragile. J'avais peur de tout ce qui pourrait lui arriver désormais. Sa tête avait l'odeur si significative qu'on celle des bébés. Un mélange de crème et de fleur d'oranger. J'aurais pu passer des heures ainsi, mais le temps pressait. Nous sommes sortis de la chambre, et je suis en face de l'homme qui se tenait à mes ordres. Le sort durerait quelques temps, mais je n'avais qu'un ordre pour lui, je ne renouvellerais jamais mon emprise sur lui. Dites-leur qu'il y a eu une erreur, que l'enfant avait encore un parent. Qu'ils sont venus le chercher. Falsifiez les documents nécessaires. Je ne veux pas qu'on nous retrouve. Et en le remerciant je m'enfonçais dans le couloir. Transplaner ici me serait impossible, bâtiment sécurisé, sans l'être au fond, les alarmes nocturnes sur les chambres plutôt que sur le bâtiment pour qu'elles ne se déclenchent pas au cours des allées et venues diurnes. Je passais discrètement devant les bureaux du bas lorsque la porte s'agita sous l'emprise d'une main alors qu'une exclamation d'incompréhension semblait s'élever de l'autre côté. Il faudrait peu de temps pour qu'ils sortent d'ici, alors sans demander mon reste, je disparaissais, repassait rapidement par la cuisine et la porte de sortie que je verrouillai derrière moi, nous rendant, l'enfant et moi, aux caprices de la nuit. Et pour brouiller les pistes je m'éloigner de quelques pas avant de, le serrant contre moi, disparaître dans un Crac. Ce soir le Shae que la vie avait gravé sur mes osSe voyait rejoint d'un autre nom De sept lettres, jeté en pâture dans la nuit dans un édition par Shae L. Keats le Dim 11 Nov - 1431, édité 1 fois Hillarius LudwigSerdaigle Un trou dans la CoqueHillarius Ludwig, le Dim 4 Mar - 2018 *RP avec Kalèn Bloom*Quelle agitation ! Quelle foule ! Ca parlait anglais de partout ! Tout allait si vite depuis son arrivée à Londres. A peine le temps d'avoir dit au revoir à sa tante de Wetherby, qu'il était arrivé, accompagné de son père Maximus et de son frère Ballio, dans une rue bondée qu'il ne connaissait pas. En tout cas ça sentait rudement bon la foule.*Bienvenue au Chemin de Traverse, les garçons ! *Leur père leur parlait encore français quelques fois. C'était sa manière à lui de les rien dire, Hillarius lâcha le bras de son père et accéléra le pas.*Je veux un chat, Papa ! Un chat tout blanc ! *Maximus soupira. Son fils ne tenait pas en place. Entendant les appels de son père derrière, lui le gamin, passa rapidement entre les robes et les vestes, se faufilant un chemin dans un bruissement de tissu. Il s'abandonnait à l'inconnu, et faisant cela il savait pertinemment que son père allait le perdre, soupirer, puis se fâcher un peu peut être. Mais surtout il allait être inquiet. Peu importe pour l'instant, il se sentait libre, décollé de son frère ennuyeux et bougon. C'est comme si une grande porte immense venait de s'ouvrir. Il chercha des yeux ce dont il aurait besoin... Une baguette?Des livres? Hillarius recula pour essayer de lire les grandes devantures, trop hautes pour lui. Mais son attention fut détournée par le miaulement d'un chat gris derrière une vitrine de magasin juste derrière sa petite tomba en admiration devant le petit animal poilu et resta un instant à lui parler tout bas quand soudain, une main froide se posa sur sa nuque. Il se retourna en sursaut, ses grands yeux ouvert. Ballio !*C'est pas drôle, Hilly. C'est vraiment pas drôle. La prochaine fois je te laisserais te perdre tout seul. Et ni Papa, ni moi on viendra te récupérer, t'as compris?*Hillarius fit mine de l'écouter une seconde, puis son regard dévia sur autre chose qu'il semblait suivre des yeux avec intérêt.*Dis, tu m'écoute?!*Le jeune sorcier redescendit lentement les yeux sur son frère, et à son grand sourire gribouillé sur sa tête pâle, Ballio compris qu'il se fichait de sa tête en faisant mine de l'ignorer.*T'es vraiment un abruti. Maman aurait honte de toi.*Le sourire d'Hillarius s'évanouit. A la place, une expression innocente s'afficha sur son visage.*Maman? Mais elle est partie Maman. Elle nous a laissé avec Papa parce qu'elle s'en fiche de nous. Non? Et tu le sais très bien. Je suis petit mais je suis pas idiot, tu sais.*Grand sourire de nouveau. Comme s'il venait de commenter la couleur de son baffe. Une joue toute rouge. Hillarius frotta sa joue avec étonnement.*Les enfants ! Ah, les garçons vous êtes là. Hilly...* Le père s'arrêta un instant puis s'agenouilla. Il posa la main sur la joue de son fils, l'embrassa, puis lança un regard sévère à Ballio. Celui-ci maintint son regard fiché dans celui de son père. Le garçon avait les yeux de sa mère. Et le même regard sombre.*Ballio, arrête*Il se releva*Ne me regarde pas comme ça*Sans un mot, Ballio se rapprocha de son père, prêt à reprendre sagement la route.*Pardon*Ils restèrent tous les trois au milieu de la Rue un instant. Sans rien dire. Hillarius regardait son père, presque avec tristesse, balançant son bras, en attente qu'il dise quelque chose. C'était la première fois que celui semblait réellement désarmé. Encore quelques secondes lourdes. Puis tout d'un coup son visage s'alluma de nouveau, presque mécaniquement lorsqu'il aperçut dans la foule une jeune femme. Apparemment il la connaissait. L'homme s'activa de nouveau pour aller lui parler, invitant ses fils à le suivre. Hillarius lança un regard vide mais que Ballio savait chargé de ressentiment, vers son frère. Puis les garçon suivirent leur géniteur pour aller à la rencontre de cette inconnue. Invité Re Dans un coin sombreInvité, le Lun 5 Mar - 2002 Une paupière se soulevant doucement, libérant la candeur de l'iris bleuté, encore voilé par le sommeil. Kalén se retourna sous ses draps, enfouissant sa chevelure bouclée sous les oreillers, masquant son visage de son éclat cuivré. C'était son jour de congé aujourd'hui. Son travail au Ministère occupait la quasi totalité de son temps, et, généralement, elle profitait de son jour de libre pour faire une bonne grasse pas aujourd'hui. Elle s'était forcée à mettre un réveil pour profiter des ses quelques heures de liberté, censées s'égrainer au Chemin de Traverse. Délaissant à regret son lit beaucoup trop chaud pour être ainsi abandonné, elle appela à elle une robe propre, sortie tout droit de son placard. Le vêtement la suivit dans la salle de bain en lévitant tranquillement derrière elle et, quelques minutes plus tard, Kalén en ressortait, ou deux coups de baguette, une tasse de thé et une grande cape sombre jetée sur ses épaules plus tard, elle sortit sur le pas de sa porte, ignorant la barque pour lui préférer un transplanage efficace. La chaleur du Nest allait lui manquer ce matin, mais elle serait rapidement de retour avec ses le mois d'août annonçait un Chemin de Traverse plein à craquer de jeunes Poudlariens avides de fournitures scolaires, et elle tremblait déjà d'effroi à l'idée des magasins bondés de gamins criards et mal élevés. Poussant un léger soupir, elle pivota sur elle-même et disparut dans un craquement, en direction du Chaudron Baveur.*L'ambiance du pub changeait de l'atmosphère venteuse du Pays de Galle. A cette heure déjà, de multiples sorciers et sorcière se pressaient au bar, discutant et riant autour de pintes remplies à ras bord. Saluant d'un signe de tête les deux ou trois sorciers qu'elle reconnaissait parmi la foule, elle se dirigea vers l'arrière cour et ouvrit le passage vers la rue elle le craignait, l'endroit était bondé. Réprimant un nouveau soupir, elle entreprit de se faufiler dans cette masse grouillante. Passer à la BAM d'abord. Une fois le Niffleur acheté, elle pourrait rapidement s'isoler dans la tranquillité de l'Allée des Embrumes. Il faudrait se rendre chez Barjow & Beurk, pour un achat, certes, mais Kalén avait aussi envie de revoir Aya. Depuis leur dernière rencontre au Chaudron Baveur, elles n'avaient pas encore eu l'occasion de se recroiser. Ignorant les enfants pressés devant la somptueuse vitrine des Halles Magiques, admirant les balais et autres accessoires de Quidditch entreposés dedans, elle allait pénétrer dans la Boutique d'Animaux, lorsqu'une voix l'interpella. Tournant la tête avec curiosité, Kalén aperçut un visage émerger de la foule, un visage tout droit sorti des tréfonds de son passé."Maximus Ludwig ! Toi ici, ça c'est une surprise ! Comment vas-tu depuis le temps ?"Maximus avait été un jeune ami de son père, alors que ce-dernier enseignait encore la Métamorphose à Beauxbatons. Elle se souvenait de lui, alors qu'il n'était encore qu'un jeune adulte, et qu'elle-même n'était que petite fille. C'était une étrange réminiscence que de le retrouver là, à Londres, en train de faire ses emplettes au Chemin de Traverse. Derrière lui, deux silhouettes se découpaient dans son ombre, un adolescent grognon que Kalén salua d'un signe de tête et d'un sourire poli, et un plus jeune garçon à l'allure candide et aux vêtements trop grands."Bonjour toi, fit-elle avec un sourire espiègle et un air pétillant dans les yeux. Laisse-moi deviner, tu entres à Poudlard cette année ! Je me trompe ?" Hillarius LudwigSerdaigle Re Dans un coin sombreHillarius Ludwig, le Lun 5 Mar - 2152 "Ca.. Ca va très bien et toi? Effectivement ça fait... très longtemps, c'est le moins que l'on puisse dire. Qu'est-ce que tu devient? Depuis tout ce temps?" Hillarius leva les yeux sur cette jolie femme aux boucles brunes. En la voyant s'avancer vers eux et commencer à discuter avec son père, il sortit distraitement de sa grande poche une petite boîte à biscuits en fer. Il n'écoutait plus trop ce qui se disait, il attendit simplement que les deux adultes finissent de parler d'eux, et viennent lui parler à lui. Il savait que son père n'allait pas tarder à le présenter, il fit juste mine de ne pas faire attention, de jouer l'étourdi. De préparer le terrain. En ouvrant la boîte toute grise argentée, il prit une fine galette au sésame qu'il fit craquer d'un coup entre ses dents, les yeux dans le vide. Puis tout d'un coup il entendit son nom et leva de nouveau la tête, écarquillant les yeux. "Hillarius, " fit son père, "Tu es toujours là? On te parle, mon grand !" La dame le regardait en souriant, ses yeux bleus fixés sur lui en attente d'une réponse. Le jeune sorcier déglutit et ne sachant que répondre, tendit rapidement sa boite en fer, presque sur la pointe des pieds, vers l'inconnue en lançant du tac au tac, "Bonjour Madame, je m'appelle Hillarius. Vous voulez un gâteau? C'est mon Papa qui les fait !"Le coup du biscuit gratuit, ça marche toujours pour faire bonne impression devant les adultes. Et il voulait donner bonne impression. Derrière, il sentit le regard noir de Ballio fixé dans son dos. Mais peu importe. Il se fichait pas mal que son frère reste en retrait tout le temps face aux autres. C'était à lui qu'on avait adressé la parole, pas à Ballio. Et ce, pour une raison très simple. Il avait toujours moins séduit que son cadet. Moins bavard, moins extraverti. Et Hillarius comptait bien en profiter. Ballio leva les yeux au ciel, irrité de cette mise en scène. Il connaissait bien son frère et savait bien que tout ce jeu n'était là que pour s'attirer les faveurs de tout le monde. Il regarda son père réagir. Celui passa une main dans ses longs cheveux blonds, aussi mal peignés que ceux de son plus jeune fils, l'air gêné et amusé. "Excuse mon fiston, Kalèn. Il est un peu tête en l'air. Pas vrai?" Dit-il en lui jetant un regard qui se voulait faussement sévère. "J'espère que tu seras plus concentré pendant tes cours, mon grand" Puis il se tourna vers Ballio. Et d'un ton moins léger lui lança "Mais lui au moins, il dit bonjour.."Ballio resta immobile un petit moment, légèrement crispé. Puis il s'avança d'un demi-pas en hochant la tête. Hillarius pouvait remarquer que ses mains dans son dos s'agitaient l'une contre l'autre, signe récurrent que son aîné allait faire quelque chose qu'il détestait faire être poli. Il lâcha, un court. "Bonjour."Maximus lâcha un soupir. Puis regarda Kalèn avec ce sourire à bascule, gêné, qu'elle connaissait si bien. Celui que, même jeune, il avait en s'excusant de tout et de rien. "On allait... justement acheter une baguette pour mes fils. Et toi? Qu'Est-ce qui t'amène par ici?" Invité Re Dans un coin sombreInvité, le Sam 10 Mar - 231 "Eh bien, après Poudlard j'ai intégré l'Ecole des Aurors. Depuis un an je travaille au Département de la Justice Magique de Londres, au Bureau des Aurors. Je dois dire que c'est un travail très prenant, mais qui me laisse un peu de temps pour m'adonner à des recherches sur l'image animée. J'ai acheté une maison au Pays de Galles, près de celle de papa. Là j'ai pu y aménager un coin entièrement dédié à l'enchantement d'appareils de projection moldus. Et toi ? Que fais-tu à Londres ? Je te pensais encore en France !"Le jeune garçon à qui elle s'était adressée semblait perdu dans ses pensées. Lorsque son père l'en sortit, il sembla sortir tout droit d'un rêve, et brandit la boite en fer qu'il tenait dans ses mains, avec une spontanéité qui arracha à Kalén un grand rire franc qu'elle jeta dans le brouhaha déjà conséquent de l'Allée. Le petit était une belle allégorie de la douce naïveté de l'enfance, ses boucles blondes lançant des reflets à la ronde, et quelques graines de sésame encore collées à ses babines. Approchant sa main de la boite tendue, elle se saisit d'un biscuit et croqua allégrement dedans."Mmmh ! C'est délicieux Hillarius, tes biscuits sont très bons, et ton Papa très doué !"Elle adressa un grand sourire à Maximus, et avala sa bouchée avant de répondre à Maximus."Oh, ne t'en fais pas, tu sais que j'étais un peu pareil quand j'étais petite, fit-elle en adressant un clin d’œil au blondinet. Alors, c'est la grande rentrée cette année ?"Elle se pencha soudainement vers l'enfant, et ancra ses deux prunelles gelés dans ses iris d'améthyste."Tu sais qu'on raconte qu'un monstre géant hante les sous-sols du château ? Personne ne l'a aperçu depuis cent ans, mais certains élèves racontaient l'entendre dans leur sommeil..." murmura-t-elle, le visage figé, la bouche entr'ouverte, lui laissant clairement admirer l'air dément qu'elle affichait à aussi soudainement qu'elle s'était courbée dans sa direction, elle se redressa et reprit d'un ton parfaitement normal."Tu as déjà une idée de la maison dans laquelle tu te retrouveras ?"Alors qu'elle parlait au petit Hillarius, l'autre jeune homme venait de s'avancer pour la saluer. Laissant ses lèvres s'étirer en un sourire pétillant, qui laissait sa fossette se fendre au coin de sa bouche, elle le regarda, ses yeux brillant comme glace fondant au soleil."Bonjour Ballio, tu entres aussi à Poudlard ? Ça va, pas trop d'appréhension pour la répartition ?"Elle laissa ses iris posées encore un moment sur le garçon, détaillant sa silhouette maussade, son allure et ses traits. Il ne ressemblait pas beaucoup à son petit frère, les deux étaient très différents... mais respiraient chacun une singularité intéressante. Laissant de nouveau son attention se focaliser sur Maximus, elle ouvrit la bouche."Ah ! La baguette est un achat formidable. Profites-en, fit-elle à l'adresse du Petit Garçon Sésame, la première rencontre avec ta baguette est un moment unique que l'on vit pas une deuxième fois. La sensation est incroyable !"Puis elle désigna la Boutique d'Animaux Magiques d'un petit signe de tête."Oh, il fallait que je passe à la BAM pour m'acheter un Niffleur. Cela fait longtemps que je rêve d'un animal de compagnie affectueux, et Lyra, ma chevêche commence à se faire vieille. Je l'ai acheté juste avant de rentrer en Première Année, tu devrais y songer, ajouta-t-elle pour Hillarius. C'est très pratique d'avoir sa propre chouette pour envoyer du courrier."Baissant légèrement la voix, elle reprit à l'adresse de son père."Je dois aussi aller chez Barjow et Beurk pour un... achat professionnel, mais j'imagine que tu n'y passeras pas ?" Hillarius LudwigSerdaigle Re Dans un coin sombreHillarius Ludwig, le Sam 10 Mar - 1815 Mais c'est super ! J'en connais un que ça intéresserait sacrément. Il est féru de cinéma tu sais? Et puis moi... Je trouve ça super aussi que tu te lance là dedans. L'art moldu.. Un vaste sujet... et passionnant en plus de cela ! Quand à notre situation, et bien.. C'est un peu plus compliqué. On est arrivé depuis très peu de temps à Londres, avec les garçons, tu sais... Un soucis de famille. Un peu long à raconter. Enfin, bref, on est... très heureux d'être là. On va pouvoir s'installer chacun tranquillement dans nos petits nids. Et moi... Et bien, toujours le nez dans mes livres, figure toi. J'ai réussi à en éditer déjà un ou deux tu sais ! Disons que... je fais ce que je peux. mais j'ai été obligé de postuler pour un emploi au ministère. Seul, il faut que j'assure les frais de scolarité et tout ce qui va avec, du mieux possible... Mais ça va n'avais pas écouté. Tout ça, je le savais déjà. Mon père, qui allait encore dire que tout allait bien, qu'il ne se faisait pas de soucis. C'était faux. Lui, n'allait pas bien. Et il se faisait beaucoup de soucis pour nous. Il se démenait pour nous faire reprendre une vie normale, essayant d'effacer l'ardoise, la peur au ventre que Maman revienne nous chercher. Ce bloc de pierre glacée, mat blanc et âpre qu'était ma mère. Je ne voulais plus la revoir. Ni en entendre parler. Elle rendait déjà bien assez triste mon Papa. Après ces discussion de grands finies, Kalèn accepta mon offrande avec beaucoup d'amusement. Mon sourire s'écarta encore plus, les zygomatiques tendues."Alors, c'est la grande rentrée cette année ?""OUI ! Je vais aller à l'école ! Je suis trop content je vais pouvoir enfin faire de la magie et rencontrer plein de..."A peine ma phrase terminée que la dame au regard étrange s'était penché sur moi brusquement, une expression bizarre aux lèvres."Tu sais qu'on raconte qu'un monstre géant hante les sous-sols du château ? Personne ne l'a aperçu depuis cent ans, mais certains élèves racontaient l'entendre dans leur sommeil..."Elle m'avait coupé en plein élan. Je sentis sur mon visage le sourire tomber d'un coup. Heeeeuu... Quoi? Un monstre ?! Comment ça, un monstre? Comme dans les livres de Papa? L'histoire de la Chambre des Secrets, le Basilic, les tantaculas Géantes? Et qu'est ce que c'était que ce regard? Je me sentais traversé par ces yeux bleus fixés dans les miens. Ils me.. désarmais et me fascinais en même temps. Quelque chose de fou. Et de légèrement inquiétant. Tout aussi brusquement, la dame se releva et me posa une autre question sur un ton revenant bien plus naturel et bienveillant. L'étrange lueur de ses iris avait disparu."Tu as déjà une idée de la maison dans laquelle tu te retrouveras ?""Haha.. heu.. n-n-non ! En fait je sais pas trop. Heu... Je-je veux dire.. "Vite ! Trouver une réponse plaisante ! Amusante ! Il se sentait à découvert... désarmé? Non ! Pas désarmé. De toute façon ça n'existait pas ce qu'elle racontait. Encore des salades d'adulte, ces histoires de monstres... Hein? Ne pas y penser. Répondre ! Tout le monde te regarde !"J'aimerai bien heu... heu.. Serddo.. heu.. Serpentouffle ? "Sans réfléchir, il lançait ça, les lèvres tremblantes. *Arrête ! Les lèvres. Stop.* Elles s'arrêtèrent immédiatement. Je repris ma respiration. Mes yeux grand ouvert. Le sourire. Bien. Avec un peu de chance, sa frayeur passagère n'aura pas trop transparu. Même question pour Ballio. Celui-ci n'hésita pourtant pas une seconde."Serpentard."Bravo, merci pour cette intervention monsieur Ballio Ludwig. Vous n'auriez pas pu être plus loquace que ça. Magnifique ça pour faire plaisir à Maman. Mais qu'est ce qu'il lui trouvait à Maman, bon sang? Il pensait vraiment qu'elle allait revenir, nous prendre dans ses bras, nous dire tout bas "Vous m'avez manqué, les enfants"? Mais non ! Jamais de la vie."Ah ! La baguette est un achat formidable. Profites-en, la première rencontre avec ta baguette est un moment unique que l'on vit pas une deuxième fois. La sensation est incroyable !"C'est vrai? Je ne pouvais plus attendre, je trépignais d'impatience à l'idée d'en avoir une, de faire flotter ce que je voulais dans les airs, de lancer des Rictusempra sur mon frère, et.. Bon, d'accord. C'était peut être un peu méchant, mais c'est vrai qu'il m'agaçait en ce moment. Toujours ce regard noir. Qu'il sourit bon sang ! Ou alors qu'il se cache et qu'il se taise ! Chaque rare mot qu'il prononçait était acide...Puis Kalèn évoqua la Boutique d'Animaux Magique. Déjà dans ma tête se rallumait un feu d'artifice. J'oublia d'un coup toutes mes préoccupations futiles. Oui ! Oui, oui et OUI ! Moi aussi je voulais y aller !"Papa, papa, papa, papa !! Il faut qu'on aille à la boutique avec les animaux ! Y en a plein qui sont trop mignons je suis sûr. Madame, Madame ! On peut venir avec vous s'il te plait? S'il te plaaîît...""On va voir, attends... " me répondit mon père en essayant de me tempérer. Puis il se tourna vers Kalèn. "L'allée des embrumes... Je vois. Quel genre d'achat? Oh, non désolé, ça.. ça ne me regarde pas trop. Mais tu me connais. Ce n'est toujours pas le genre d'endroit que j'aime fréquenter... Surtout avec les enfants. "Ah bon? Qu'est ce que c'était que ça? L'allée des embrumes? Autant poser la question."C'est quoi l'allée des embrumes, Madame?" Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Dim 6 Mai - 2322 Bientôt deux mois sans réponse et après une message privée sans réponse aussi, je me permets donc d'entamer mon Rp. Pv Mangemort 67. Trois années plus tôt. Le soleil s’était replié depuis plusieurs heures maintenant, laissant la noirceur inquiétante de la nuit se répandre dans les rues du chemin de Traverse. Un vent hivernal soufflait dans les ruelles étroites, depuis bien longtemps désertées par les passants. Le chemin de Traverse, vivant et animé la journée, perdait de sa splendeur une fois la nuit tombée. Les récentes attaques des Mangemorts n’avaient fait qu’encourager les sorciers à rester cloitrer chez eux, de peur d’un croiser un et de subir ses jeux de douleurs. Et on criait au scandale, contre le Ministère de la Magie, soit disant incapable de les attraper. Si seulement la population du monde magique savait le nombres d'heures que faisaient les Aurors pour essayer de les trouver. Mais comme des rats, les mages noirs réussissaient toujours à s'échapper. Seul, une écharpe autour du cou, l’Auror avançait dans l’obscurité, ses yeux l’égerment plissés à cause du vent. De la buée s’échappait à chacune de ses respirations et ses mains, emmitouflées dans d’épais gants en cuir noir, ne cessaient de trembler. Il s'était habillé rapidement, enfilant un jean et un pull en laine aux couleurs de sa maison. un accoutrement pas assez réchauffant contre les rafales de vent qui hurlaient dans la ruelle. Un accoutrement bien étrange pour un sorcier faisant parti de l'élite du Ministère de la Magie. L'américain avait essayé de s'allumer une clope, sans succès. Maudit climat anglais. Dans la ville de ses parents, il faisait bien meilleur. Cela faisait bientôt une vingtaine de minutes qu’il marchait dans les ruelles étroites parallèles au chemin de Traverse. Vingt minutes. Vingt minutes avant, il se trouvait tranquillement assis dans son canapé un livre dans les mains, un feu dans la cheminée et une tasse brulante de café sur sa table de basse. Le sorcier attendait impatiemment l’arrivée de sa douce, qui ne devait plus tarder à rentrer de son travail au Ministère. Mais la seule chose qui arriva, fût la stridente sonnerie de son téléphone portable qui brisa le silence de son douillet cocon. Une belle invention moldue, quoi que, des fois un peu trop bruyante. Matt avait du grommeler et soupirer quelques instants avant de se décider à répondre. Un numéro masqué. Que voulait-on lui vendre à une heure pareille ? Par la Barbe de Merlin, si c’était encore pour un aspirateur, il allait devenir fou ! Non, cette fois là, se ne fut pas pour un aspirateur. Une voix aigue, tremblante, empreint de panique lui demanda le rejoindre rapidement sur le chemin de Traverse. Une information importante à lui divulguer. Une information sur les ennemis du Ministère, des Aurors, les Mangemorts. Cette voix, l’américain la reconnue aisément, comme appartenant à l’un de ses indics. Un sorcier de bas étage au penchant très prononcé pour la magie noire. Sans plus attendre, l’Auror gribouilla un mot d’excuse sur une post-it pour sa douce, qu’il laissa sur la table du salon, avant de s’envoler dans un nuage de fumée dorée. Trouver une femme qui acceptait les contraintes de son travail n’avait pas été chose aisé pour le sorcier. Par chance, le destin l’avait jeté dans les bras d’une sorcière au cœur en or. Ainsi fût la raison de la présence de Matt Austin, Auror au Ministère de la Magie, dans une ruelle sombre du chemin de Traverse durant une longue et froide nuit d’hiver. Grommelant et soupirant, recherchant un indic et poursuivant sa chasse aux mages noirs. Une nuit qui le laissera à jamais marqué. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Sam 12 Mai - 2118 À cette époque, je ne suis pas encore le Seigneur des TénèbresOh oui, je l'ai eu cette marque sombre qui m'enverrait directement à Azkaban. Depuis que je l'ai, j'ai ce sentiment de folie qui m'habite, toujours été présent mais enfoui attendant d'être réveillé et son heure est arrivé ! Oh oui, je le sens bouillonner et je n'en trouve plus le sommeil, trop agité parce qu'à présent je suis un Mangemort. Quoi de mieux que d'aller se dépenser dans les ruelles, surtout que j'ai une idée derrière la tête. Parce que porter le masque me permet d'apprendre beaucoup de choses. Le flux d'informations depuis que j'avais rejoint l'Ordre Noir ne semblait plus s'arrêter en apprenant chaque fois un petit peu plus sur chacune des personnes de la communauté magique. Inconnus et connus pensaient que leurs petits secrets ne sortiraient jamais mais il fallait compter les mages noirs dans cette équation et il semblait bien que nous étions plutôt doués pour écouter aux il fallait croire que c'était mon jour de chance lorsque j'appris que notre chère et puissante 70 fréquentait un Auror. Pourquoi ne pas parcourir la nuit à sa recherche ? Après tout, l'élite ministérielle nous cherche également alors peut-être qu'avec un peu de chance. Dans tous les cas, me dépenser me ferait du bien. J'en suis certain. Robe noire et masque ainsi que la baguette, tout était prêt pour une des premières sorties après avoir reçu la marque. Peut-être était-ce un peu présomptueux de ma part que de sortir seul mais je me sentais l'âme d'un lion qui dévorerait tout sur son froid hivernal se glissait là où il pouvait et me refroidissait petit à petit même si je marchais d'un pas vite. Regardant autour de moi, arme en main, action-réaction dès que possible. Mais rien, ce que c'était décevant. Et puis, au bout de longues demi-heures, voilà qu'une silhouette attire mon regard. À croire que c'est la seule personne aux alentours, le froid a eu raison des promeneurs nocturnes mais pas celui-ci, il regretterait d'avoir mis le nez dehors celui-là. - Bonsoir, une envie de se promener sous étoiles londoniennes ? Pourtant, difficile de distinguer quoique ce soit....Baguette visible, je voulais être certain que l'inconnu sache qu'il ne fallait pas prendre à la légère s'il décidait de s'en prendre à moi. Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Sam 12 Mai - 2334 Voilà maintenant une bonne vingtaine de minutes que Matt recherchait l’indic l’ayant contacté, mais il ne semblait n’y avoir aucune trace de lui. Même si le fait de marcher le réchauffait un peu, ses jambes lui paraissaient lourdes et engourdis à cause du froid. L’américain souffla dans ses mains pour les réchauffer tandis qu’il grommela et pestait de tourner en rond. Il aurait mieux fait de rester au chez lui au chaud devant sa cheminée. Le sorcier nota pour lui même dans son esprit ne pas sortir une nuit d’hiver sur le chemin de Traverse. Ou sortir avec quatre mentaux, trois pulls et cinq paires de chaussettes. Le sorcier jeta un regard à sa montre au bracelet en cuir marron. Axelle était surement déjà arrivée chez lui. La pauvre, elle devait pester comme un diable. Encore une dizaine de minutes puis il s’en irait de cette épouvantable endroit. De toute manière, si il ne partait pas, il allait finir par ne plus pouvoir bouger, figé par les rafales glaciales. Puis même si elle lui faisait la tête, savoir que sa douce se trouvait chez lui, lui réchauffait le cœur. Un dernier petit tour du chemin et ensuite, un transplanage tout droit à Russell Street. Des pensées heureuses en tête, l’américain continua sa marche sur le Chemin de Traverse. Englobé par la nuit de toute par, il n’arrivait pas à distinguer les formes à plus d’une dizaine de mètres. Dix minutes passèrent et l’Auror n’avait toujours aucun signe de son indic. Il n’avait même vu aucun signe du moindre être vivant sur le chemin. Matt soupira et haussa les épaules. Il était temps pour lui de rentrer. Tout en marchant, le sorcier se décida tout de même à regarder une dernière fois sa montre. Il ne remarqua pas l’individu qui venait de sortir de l’ombre, face à lui. Ce fût la voix de l’individu qui le força à lever le nez de sa montre. Bonsoir, une envie de se promener sous étoiles londoniennes ? Pourtant, difficile de distinguer quoique ce soit.... » L’américain releva doucement la tête et fixa l’individu face à lui. Il eu aucun mal à reconnaître un adorateur des mages noirs. Après tout, ils avaient tous ce stupide masque sur la tête. Le Mangemort face à lui tenait sa baguette de manière à ce qu’elle soit des plus visibles, prêt à en découdre avec le premier venu. Manque de chance pour lui, le premier venu n’était d’autre qu’un Auror. Un Auror qui ne comptait pas fuir en hurlant de terreur. Un sourire narquois apparu alors sur les lèvres du sorcier américain tandis qu’il releva légèrement son pull pour laisser apparaître sa plaque dorée d’Auror attachée à la ceinture de son jean. - J’ai pas beaucoup de temps pour faire mumuse avec toi le masqué, une compagnie bien plus agréable m’attend. L’Auror attrapa sa baguette qui se trouvait dans son dos et la pointa en direction du Mangemort. Tu ne m’en voudras pas si je ne te déclare pas tes droits ? Je te les dirais quand tu seras bien au chaud au fond de la cellule du Ministère de la Magie. Sans attendre de réponse de la part du mage noir, Matt formula un Aresto Momunto. Espérant que son adverse se retrouve suffisamment ralenti par son premier sortilège, le sorcier américain formula ensuite un Petrificus Totalus, dont le rayon de couleur fonça droit sur le sorcier masqué. Après tout, la capture du Mangemort restait la priorité. Sa mort n’intervenant seulement si Matt s’en retrouvait forcé par la suite des événements. L’Auror ne prit pas le temps d’appeler ses collègues à la rescousse, se jugeant suffisant pour procéder à l’arrestation d’un Mangemort. Après tout, il avait combattu de nombreuses fois et il devait être en capacité de se défaire d’un mage noir. Confiant, baguette en main, ses pensées étaient tournées vers son affrontement. Ps Mangemort 67, je t'accorde mon LA si tu en as besoin. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Dim 13 Mai - 923 La réponse de l'inconnu fut non-verbale... Heureusement que je portais un masque, car la surprise de tomber sur un Auror aussi rapidement me fit écarquiller les yeux. Quelle joie ! Au moins, j'étais certain de bien pouvoir m' Je pense surtout que je serai bien au chaud à Hollow après m'être occupé de toi, je pense que ma Maîtresse sera ravi que je me sois débarrassé de toi Répondis-je à ses vaines menaces. Je ne comptais pas appeler d'autres masqués, si cela se passait mal, ma marque me serait utile mais tant que je pensais pouvoir prendre le dessus. Hors de question de partager mon jouet !Alors que je m'apprêtais à réagir à sa première attaque rien ne vient ou du moins rien comme il faut, un léger ralenti d'une micro seconde que je n'avais pu remarquer que parce que j'avais voulu bouger ma baguette puis une esquive en faisant un grand pas sur la Il faut prononcer correctement les formules mon cher, sinon tu vas me faciliter la tâche et je risque de m'ennuyer. Circumglacie ! Baguette pointée dans la direction du cette température le sol devait bien être gelé par endroit, j'avais conscience que ce ne serait pas si efficace que si je m'étais assuré que la glace recouvre le sol mais j'avais une autre idée derrière la tête. Pendant que les pics mortels de glace sortait des amas de neige, j'informulai un Ango Nubes prêt à étouffer mon adversaire. Soit il mourrait en manque d'oxygène, soit il risquait de se transformer en passoire en tentant de sortir de ce nuage asphyxiant. Amusons-nous très cher, je sens que je vais pouvoir me défouler face à un adversaire expérimenté ! Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Dim 13 Mai - 1339 Était-ce l’excitation du combat qui l’avait fait prononcer trop vite son premier sortilège ? Matt ne s’en y préoccupa pas très longtemps. Au milieu d’un combat, la moindre inattention pouvait couter très cher. L’Auror regard le Mangemort sauter sur le côté pour éviter son sortilège de pétrification. Le mage noir se releva vite pour contre attaquer. Il visa le sol gelé par le froid du Chemin de Traverse et des pics de glace sortirent du sol pour converger vers le sorcier américain. Son cerveau réfléchissant à toute allure pour savoir comment s’en sortir, le Serdaigle aperçu du coin de l’œil le masqué entrain de lancer son prochain sort. Baguette en main, l’Auror formula Sphaera Ignis en direction des pics qui convergeaient vers lui. Une imposante boule de feu sorti de la pointe de la baguette du sorcier et s’en alla à la rencontre des pics, provoquant une explosion aux couleurs vives. Un problème de régler. Mais le combat ne faisait que commencer. Le nuage sombre qui était sorti de la baguette du mage noir était déjà très proche de l’Auror. Matt connaissait ce sortilège, un de plus apprécié par les masqués justement. Si il restait comme un fruit au milieu du chemin de Traverse entouré par le nuage, il serait rapidement asphyxié. L’Auror recula de plusieurs mètres pour échapper au sortilège même si il se doutait que le nuage le suivrait, commandé par le Mangemort. Le meilleur moyen de stopper le maléfice de la Fumée Étrangleuse était de s’en prendre directement au sorcier le dirigeant. Le sorcier américain formula un Eolo Procella en direction du nuage. Les bourrasques de vent dissipèrent une importante partie du nuage, permettant à l’agent du Ministère de la Magie d’apercevoir son adversaire. Ne laissant pas le temps au nuage de se reformer, il formula instantanément un Terraballi Mortis. Voyons comment le masqué allait réussir à éviter le sortilège de la prison de terre. Après tout, autant qu’il commence à s’habituer à être enfermé. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Lun 14 Mai - 1947 Ice&FireLe spectacle que nous avait proposé ce cher sorcier d'élite était des plus magnifiques, il fallait le reconnaître. Le feu et la glace se mariait somptueusement bien de part leur opposition, c'était superbe. Mais pas le temps de s'extasier devant tant de beauté, il fallait continuer de combattre pour que mon cher adversaire se retrouve hors d'état de boule feu s'écrasa plus loin, déjà bien diminuée de part ses rencontres avec les quelques piques de glace. Puis le vent s'éleva, ne me laissant pas croire qu'il était naturel lorsque je vis mon nuage mortel se dissiper petit à petit. S'assurer d'être hors de danger pour ensuite contre-attaquer, une attitude basique de duel qui ne laissait que peu de place à la surprise. Ce qui était bien dommage... Le sol autour de moi se mit à réagir quelque peu, ainsi donc cela viendrait de la terre. Qu'importe ce que c'était, il fallait éviter de rester ici trop longtemps. Le crac caractéristique du transplanage se fit entendre, autant changer de position. Cela me permettrait de le Surprise ! Dis-je lorsque je me retrouvai dans son dos, car c'était bien à cet endroit que j'avais transplané. Gladius Purpura ! Hurlai-je en pointant ma baguette dans la direction de l' forma alors la typique lame meurtrière qui s'élança à toute allure vers mon ennemi. La distance entre nous lui permettrait de s'en tirer probablement mais pas sans séquelle. Puis, une idée afin de le mobiliser Terra soluenta Multiplicare. Quelques mètres plus loin, avant même de savoir si mon sortilège l'avait touché. Ainsi, non seulement il serait projeté vers l'avant mais en plus il tomberait sur des sables mouvants qui se feraient un plaisir de l'accueillir correctement. Ces derniers recouvraient une grande partie de la ruelle menaçant presque les fondations des habitations. Gabin ŠprajcSerdaigle Re Dans un coin sombreGabin Šprajc, le Mar 15 Mai - 1401 La respiration haletante, Matt s'essuya rapidement le front en entendant le grondement de son sortilège sortir de terre. Il espérait que les parois de terre allaient se refermer rapidement pour ne pas laissé le temps au masqué de réagir. Si il réussissait à l’emprisonner maintenant, ça lui faciliterait les choses et il serait à rentrer chez lui pour voir Axelle. Mais comme tous les plans que le sorcier mettait en action, rien ne se passa comme prévu. Le mage noir face à lui, qui semblait pourtant être prit au piège, disparut. Un crac sonore résonna dans la ruelle. L’Auror connaissait que trop bien ce bruit. Un transplanage. Et un transplanage lors d’un duel entre sorcier avait quasiment toujours la même destination. Le dos de l’adversaire. Surprise ! » Matt eut tout juste le temps de se retourner pour voir le masqué, à un mètre de lui, baguette pointé dans sa direction. Une flamme pourpre ayant la forme d’une lame fonça droit sur l’agent d’élite du Ministère de la Magie. Grâce à l’expérience qu’il avait acquis grâce à ses nombreux combats, l’américain eu le reflexe de lancer un Protego. Malheureusement, la distance entre les deux sorciers était des moindres et le sort de protection de l’Auror n’eut pas le temps de se former intégralement. La lame frappa le sortilège de protection mais ce dernier, formulé dans la précipitation, céda. Le sortilège du mage noir, quelques peu amoindrit, frappa le torse de l’Auror qui fut propulsé en arrière. Matt s’attendait à chuter lourdement sur le sol mais contre tout attente, il se retrouva sur une surface sableuse. L’américain comprit le pétrin dans lequel il était. Son corps était aspiré par le sable et ci il restait plus longtemps dedans, il allait se retrouver immobiliser, à la merci du mage noir. Alors que le temps jouait en sa défaveur, l’Auror jeta un regard aux battements autour de lui qui ne se trouvaient pas dans la zone des sables mouvants. Sur un des appartements du Chemin de Traverse, situé au rez-de-chaussée légèrement surélevé d’un ancien bâtiment, le balcon possédait plusieurs jardinières. Alors que les jambes du sorcier étaient enlisées dans les sables, il visa l’une des jardinières et formula un Commutatio Loco. Instantanément, la jardinière se retrouva à la place du sorcier et s’enlisa dans les sables mouvants. L’américain, quant à lui, fût téléporté et tomba sur le balcon. Alors qu’il allait se relever, la vision de l’Auror se brouilla et ses tripes se nouèrent. Une gerbe de sang sorti de sa bouche pour finir son chemin sur les lattes en bois du balcon. Une douleur aigue lui comprimait le torse, la où la lame l’avait frappé. Matt posa sa main gauche sur la localisation d’où provenait la douleur mais ne remarqua aucune blessure particulière. Nouvelle gerbe de sang. Il jura tandis que qu’une voile brumeux s’installa devant ses yeux. La respiration haletante et rauque, le sorcier américain s’interdisait de paniquer malgré l’urgence de la situation. Son ennemi avait du le localiser et n’allait pas tarder à lui tomber dessus. Il faut que je prévienne les autres… » Murmura-t-il pour lui même. Baguette en main, le sorcier américain pointa sa baguette en direction du ciel, se préparant à lancer son patronus chercher des renforts. Il n’avait pas d’autres choix. Mangemort 67Mangemort à la retraite Re Dans un coin sombreMangemort 67, le Sam 19 Mai - 035 Prise de LALa succession peu commune de mes sortilèges semblait fonctionner. Mais c'était sans compter sur l'expérience de mon adversaire. Heureusement que je portais un masque, car l'air dubitatif qui s'était affiché sur mon visage lorsque je vis la jardinière à la place du sorcier n'avait rien de bien crédible. Il est vrai que je n'avais pas envisagé qu'il échange sa place. Légèrement stressé, j'observais les alentours, passant rapidement les habitations en revue, le premier coup d'oeil ne fut pas le bon. J'étais sur mes gardes, car même si j'avais bien vu que mon sortilège l'avait touché, je ne savais pas quels en étaient les dégâts. Attentif à une attaque surprise éventuelle. Un bruit de vomi, du moins quelque chose qui y ressemblait, vint briser le silence d'hiver qui était revenu après les premiers échanges de sortilèges. Un deuxième bruit se fit entendre ce qui m'aidait à préciser l'emplacement de mon adversaire et si ce dernier ne tentait rien, j'avais bon espoir de croire que je l'avais plutôt bien endommagé. Je crois bien que je l'ai trouvé. Il fallait qu'il descende de son perchoir !- Bombarda Ma
n entre pas docilement dans cette douce nuit